Mots source ? mots cibles ? Sur quoi se base-t-on ? Avant de commencer à traduire, le traducteur doit connaître le nombre de mots qu'il a à traduire et je base moi-même mon devis sur celui-ci, c'est donc quelque chose de primordial et d'indispensable avant tout démarrage de projet de traduction. La tendance actuelle est de plutôt baser son calcul sur le nombre de mots du texte d'origine et ainsi tant pour le traducteur que pour le client, tout le monde part du même chiffre et cela évite toute confusion lors de la facturation, tant d'un côté que de l'autre ! Les coefficients de foisonnement et autres calcul "mots cibles" perdurent encore mais de moins en moins. Après qu'on se soit mis d'accord sur le nombre de mots, on peut alors en déduire un délai de livraison, autre composante essentielle de l'offre de prix.
Les textes à traduire sont le plus souvent des textes sous format Word. Il arrive parfois cependant qu'on ait des formats différents tels que pdf etc. : finie la corvée d'impression et de comptage à la main, différents logiciels permettent maintenant de transformer ce genre de fichiers dans des formats nous permettant de compter le nombre de mots : je citerais d'ailleurs des softs tels que CompleteWordcount (www.shaunakelly.com/word/CompleteWordCount/) qui permet de compter les mots même dans les pavés de texte non pris en compte par le comptage automatique) ou bien encore OmnipagePro (www.OmniPage.fr) ou bien SolidConverter (www.solidpdf.com), qui permettent la conversion de fichiers pdf en format Word. Vive la technologie !
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